Il y a vraiment des gens pour me faire rire et c'est une bonne chose, qu'ils en soient ici remerciés. C'est le cas aujourd'hui d'un parlementaire alsacien qui s'offusque de la somme astronomique en jeu à l'euro millions ce week-end. Et de proposer une plus juste répartition des gains.
Une campagne publicitaire télévisée est actuellement diffusée pour soutenir les ventes d'un produit d'une des grosses boites de chimie-lessive-dentifrice, je ne saurais dire laquelle. Cette campagne met en scène un ancien footballeur qui s'est récemment reconverti en acteur pour le bien du cinéma indépendant britannique.
Mes yeux, et hélas mes oreilles, ont été attrirés à plusieurs reprises ces dernières semaines par un petit bonhomme qui se promène dans le métro parisien afin d'y répandre ce qu'il suppose probablement être de la musique.
L'opéra de quat'sous à la comédie française. L'institution affiche fièrement ("1680") dans son logo sa tradition remontant à Louis XIV. En fait je n'ai pas grand chose à ajouter à la critique (sévère) de Télérama sur ce spectacle, à part que Lucy chante affreusement mal.
Les Bouffes du Nord, lundi soir.